« j'ai fait beaucoup d'erreur dans ma vie, d'abord je suis né, première erreur... » - 100% Done.

● beautiful ~~dirty~~ r i c h

« j'ai fait beaucoup d'erreur dans ma vie, d'abord je suis né, première erreur... » - 100% Done. Vanessa1yp2

_« Rain Johnson. »_

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« Première erreur, Dieu qui m'a fait une place dans ce monde. »
Cette journée-là, il fesait très sombre à l'extérieur. C'est ce que maman m'avait dit quelques années après ma naissance. Il fesait terriblement froid pour le mois de février et la neige encombrait encore pleinement les routes populaires et passantes de la ville. À ce qu'il parait, le mélange de la noirceur obscure ainsi que la neiger qui virevoltait dans tout les sens, dehors, nous avions l'impression d'être en plein cœur de la tempête, au milieu de l'enfer. Pendant que papa donnait de la nourriture à Max, notre chien, maman, elle, se reposait paisiblement le corps et l'esprit dans leurs chambre. Puis, elle s'est mises à avoir mal au ventre, tellement mal que la douleur était pratiquement invivable. Dès lors, elle a sentis un liquide tiède sortir de son sexe et elle a tout de suite sut que ce serait maintenant et tout de suite que je ferai mon arrivée sur terre. Le jour de la St-Valentin. Elle n'aurait pourtant jamais crue que sa fille unique pourrait naître le jour de l'amour, le jour ou tout les amoureux se rendait hommage, en quelques sortes. Durant toutes la journée, papa avait traité aux petits oignons maman. En effet, tout ce qu'elle demandait, elle l'obtenait. Si elle voulait un déjeuner au lit, il lui apportait. Si elle voulait un massage, même si avec sa bedaine, c'était quelques peu difficile, il lui fesait. Qu'est-ce qu'il l'aimait mon papa. Il avait cet amour inconditionnel pour elle et ça m'impressionnait. De nos jours, c'était presque impossible de trouver l'âme sœur, quoi que dès que mes parents se sont vus pour la toutes première fois, ils ont tout de suite sus qu'ils s'aimaient et ce, jusqu'à la fin des temps. Bref, ma mère, parfaitement consciente de ce qui allait venir, cria de toutes ses tripes ne nom de papa. CHAAAAAAAAAAARLES ! Il laissa tomber ses choses et se mit à courir dans l'escalier comme personne ne pouvait le faire. Peu importe les obstacles, il était décidé à atteindre la chambre des maîtres. Arrivé sur place, il serra de toutes ses forces la main frêle de ma maman et lui ordonna de respirer constamment et lentement pour ensuite aller chercher une compresse d'eau froide ainsi que le manteau de ma mère. Même si pour elle, ce n'était pas important d'avoir à tout prix quelques choses sur le dos, mon papa, lui, tenait absolument à lui mettre quelques choses sur son corps blême. Bref, une fois tout ça en main, il prit dans ses bras maman chérie que semblait s'affaiblir et souffrir plus le temps avançait. À savoir pourquoi, ma mère éprouvait une telle douleur qu'elle en avait presque peur pour sa vie. Elle se sentait si faible qu'elle pouvait à peine parler. Durant le trajet qui les mèneraient à l'hôpital pour enfants la plus populaire de toutes la Californie, mon papa tenta par dessus tout de garder maman éveillée. Malheureusement, les tentatives s'annoncèrent très peu fructueuse car dès son arrivé dans l'établissement vaste et morne, elle ferma les yeux pour ne plus jamais les ouvrir. Qu'est-ce qui se passait, ça, personne ne l'a sut. Tout ce que les docteurs ont dit, c'est qu'il fallait vraiment sortir le petit être, sois moi, du ventre de ma mère. Sinon, ce serait la faim pour une de nous deux. Hésitant, mon père a dut faire un choix crucial. Seulement, il n'avait pas le temps. C'était moi, elle ou personne. Avec énormément de tristesse, il décida de garder sa fille en vie, sa tendre petite Rain. Les médecins ont donc entamés une longue et pénible opération qui avait pour but de nous sauver. Mais, malheureusement, l'histoire ne se termina pas bien pour ma mère. Enfaites, pour être franche, ma mère est morte à mon accouchement. Les spécialistes avaient beau tout faire, maman ne reviendrait pas. Papa n'a plus jamais été le même. Grand-maman m'a dit, un jour de printemps, qu'avant, papa était l'homme le plus enjoué du monde et que depuis le départ de maman, il n'était plus le Charles Johnson qu'elle avait connu. Je n'ai jamais connu maman mais parfois, elle me manque. Me manque terriblement. Tout ce que j'ai, c'est une photo d'elle. Une seule et unique petite photo carré. Certes, je ne l'ai pas connu mais tout de même, j'aimerais bien être comme toutes mes anciennes copines qui fesait tout plein de sortie avec leur maman. Si seulement c'était si simple et facile.

« Deuxième erreur, le fait d'être différente des autres jeunes fillettes de mon âge. »
Non, je n'ai jamais vraiment compris comment ça se fesait que j'étais si différente des autres élèves de la petite école. Je me rappelle le premier jour d'école, papa était venus me ramener à l'école, le visage triste et lucide comme d'habitude, depuis la mort de maman. Il fesait si beau et chaud à l'extérieur, mes boucles virevoltaient dans l'air qui nous enveloppait. J'étais bien juste là, devant mon père accroupis devant moi. Le mois de septembre était un de mes mois favoris. Il ne fesait jamais ni trop chaud, ni trop froid. Nous étions bien, tout simplement bien. Aucune rafale de neige ne s'annonçait à l'horizon et le ciel était complètement dégagé, fesant place au magnifique soleil qui c'était levé très trop ce matin. Papa mit les deux mains sur mes toutes petites épaules et, avant de me regarder longuement, il se racla discrètement la gorge. Aujourd'hui, Rain, ce sera un jour spécial, très spécial... Mais que voulait-il insinuer par le mot spécial. après tout, ce n'était que ma première journée d'école. Je le regarda, perplexe et attendit qu'il poursuive. Tu commences une toutes nouvelle année et peu importe ce qui se passe, je veux que tu saches qu'il ne faut pas s'en faire. D'accord ? Bien sur que je le savais. Mais pourquoi me le rappelait-il ? Était-ce parce qu'il savait que l'école, c'était difficile ? Était-ce parce qu'il savait d'avance que mon année scolaire allait mal se passer ? J'acquiesçai, même si je ne savais pas vraiment ce qui se passait. D'accord papa. Je serra son énorme cou et mes petites mains frôlèrent ses joues, puis sa bouche. Sa y est, je devais partir. Je lui fis un mince sourire et tranquillement, très tranquillement, je me retourna vers l'entrée de l'école. Voilà, c'était le moment. Toujours aussi lentement, je me mis à faire un pas, puis un autres vers ma nouvelle école, vers ma nouvelle vie. J'ignorais dès lors tout mon futur. J'ignorais que la vie ici serait un véritable enfer. En effet, toutes les petites copines de ma classe m'ont détestés dès la première secondes où elles m'ont vus. Je n'avais pas de maman et j'étais stupide. Je n'avais pas les vêtements qu'elles aimaient et j'étais hideuse. J'avais un visage nettement plus beau qu'elles alors elle me détestaient. Vous savez, lorsque les gens disent que la réalité est dur à avouer et qu'elle est injuste, il faut y croire car c'est entièrement vrai. Même si vous le voulez pas y croire, vous n'aurez pas le choix car tôt ou tard, vous devrez l'affronter. Tout les midis, je mangeais seule, et sans personne avec qui parler. Mon sandwich aux jambons, je ne l'échangeait avec personne parce que je ne l'aimais pas. Je le gardais pour moi et me contentait de les regarder jouer à la marelle. C'était simple; j'étais si différente, que les gens ne m'aimaient pas. Elles ne savaient m'accepter tel que je suis et c'était malheureusement vrai.

« Troisième erreur, quand papa est tombé malade. »
Biiiiiiiiiiiiip Biiiiiiiiiiiiiiiiip Biiiiiiiiiiiiiip ! Ce matin, il fait terriblement chaud à l'extérieur et le soleil s'est étalé sur son long aujourd'hui. Même s'il n'était que six heures du matin, cette grosse boule énorme de chaleur avait fait son apparition dès cinq heures. Bref, le corps mou comme du crèmage à gâteau à la vanille, je me leva péniblement, comme à l'habitude. Je détestais tant les matins. J'avais toujours eu autant de difficulté à sortir du monde des rêves. En parlant de rêve, la nui dernière, j'avais rêvé à maman. Elle était là, juste devant moi et, même si je voulais par dessus attraper la main qu'elle me tendait, je n'y arrivais guère. C'était comme si un énorme mur épais et transparent nous séparait. Comme si jamais je ne pourrais lui toucher, puisqu'elle est morte. Maman me ressemblait tellement dans mon rêve. Plus que ce que grand-maman ou papa me disait souvent. Et même sur la photo, elle paraissait moins ressemblante à mon visage. Je réveilla en sursaut, comme à chaque fois que je rêvais à elle. Cette fois-ci j'avais eu l'impression qu'avec un peu d'effort, j'aurais été capable d'y arriver. Mais non, mon stupide réveil-matin avait été obligé de me priver de mes rêves. Encore une fois, la vie ne me donnait aucune chance. Bref, je mis mes pantoufles et me dirigea aussitôt vers la salle de bain, sois ou l'eau allait désormais réchauffer mon corps glacé. La sensation de l'eau brûlante sur mon corps me procurait un immense réconfort. Ça fesait du bien. J'avais si froid et ce, constamment. Ça en était presque inquiétant. Une fois mon corps ainsi que mes cheveux propres et lavés, je sortis malheureusement de la salle embrumés de fumée et alla retrouver mon papa dans la cuisine pour prendre mon petit-déjeuner. Il n'était pas là. Il dormait encore ? Ce n'était pas du tout lui. Ou plutôt, ce n'était pas dans ses habitudes de vies de faire une telle grâce mâtiné. Je regarda brusquement l'horloge et fus surpris qu'il ne soit pas déjà levé à cette heure; 7h30. Non non et non, c'était impossible. Je monta d'un coup les nombreuses marches qui nous menaient au deuxième étage. Arrivée dans la chambre de papa, je ne fus même pas surprises de voir papa dans son lit, se tordant de douleurs. Rain ! Appelle le 9-1-1 ! Je m'exécuta à ses ordres et composa le numéro donné. Papa se tenait le vent si fermement que j'avais l'impression que ses os allaient cassé. Une jeune femme répondant à l'appel, je lui décris tout les symptômes de mon père. Douleur atroces, fièvre, rougeur. Que se passait-il ? Elle m'emporta immédiatement une ambulance et elle arriva peu de temps après. Je ne savais maintenant plus ce qui allait se passer.

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« Quatrième erreur, lorsque je me suis accroché à lui trop vite. »
À travers la fenêtre rectangulaire de l'autobus, un tas de chose roulaient sous mes yeux noisettes; des champs d'or à perte de vue, des conifères et des feuillus de toutes sortes qui produisaient toutes sortes de choses, de vieux couple marcher dans la rue main dans la main, toujours aussi amoureux même après 20 ans de mariage, des adolescentes avec un garçon. D'où est-ce que j'étais, je pouvais très clairement comprendre que ce garçons-là, elle le voulait. C'était presque écrit dans son front en grosse lettre noir; IL EST À MOI. Bref, à l'extérieur, un tas de choses vivaient, mouraient, étaient malheureux ou heureux tandis que moi, c'est comme si le temps c'était arrêter devant moi. Comme si j'avais perdu depuis bien longtemps le fil du temps et que plus jamais je ne pourrais le retrouver ou alors m'incruster de nouveaux dans cette bourrasque. Je tourna mon regard vers mon ipod et appuya légèrement sur mon pouce pour augmenter vaguement le volume de la chanson que j'étais présentement en train d'écouter. I don't want miss a thing. Un vrai succès. Une chanson qui dit tout sur ce que cette homme ressent envers sa famille, en particulier sa femme. Si seulement ça pouvait m'arriver à moi aussi. Puis, je sursauta en m'apercevant que quelqu'un vint à ma rencontre en s'assisant sur mon siège. C'était Caden Hartley. Le seul et unique Caden Hartley. Le mec le plus cool et populaire de tout le lycée. Il me sourit de toutes se dents parfaitement droites et blanches comme des perles de soies. Étant de nature gênée, je fis de même, mais avec beaucoup moins d'entrain. Que me voulait-il. Il se racla la gorge et quelques millièmes de secondes, un son velouteux et grave sortit de sa bouche. Tu veux bien venir avec moi à la soirée de la St-Valentin vendredi ? Était-ce un rêve, non, ce ne l'était pas. Caden Hartley m'avait bien demandé d'aller à une fête avec lui. J'entendis soudainement des murmures et des rires étouffés. Je me tourna la tête vers l'arrière de l'autobus et vis sa bande d'amis rire et ls petites pestes me dévisager comme jamais. T'es sérieux ? avais-je dit. On ne sait jamais. C'était peut-être un autres coup monté. Pourquoi est-ce que je ne le serais pas ? Je ne sus quoi répondre, tellement je sentais que j'étais ridicule et que ma question n'avait simplement aucun bon sang. Alors tu veux ? a-t-il dit en s'énervant légèrement. D'a.. D'accord. Je lui souris puis, se mettant à rire en regardant l'arrière de ses amis, il se retourna et me dit de sa voix d'homme : Pff. T'es vraiment stupide tu le savais ? Il se leva et alla rejoindre sa bande. Rendu là-bas, il tapa dans la main de plusieurs de ses amis et me regarda tout en continuant de rire. Il m'avait eu, encore une fois. Je mis au maximum le volume de mon ipod et me baissa dans mon banc. Mes yeux se fermèrent fermement. Je ne voulais plus rien. Plus voir tout ses gens qui riaient de moi. Ne plus vois tout ce qui se passait autour de moi. Pourquoi est-ce que les gens était si méchant ?

« Première bonne action, ma nouvelle vie, mon nouveau moi. »
Je recommence une nouvelle vie. Sur le parchemin qui jusqu'à présent, était plein d'encre noir et de paroles plus ou moins heureuse on pouvait voir en vas de la page, FIN. Un nouveau départ, une nouvelle existence. Tout mon passé est terminer et effacer. Certes, je resterai la même mais plus jamais au grand jamais je ne laisserai les gens me découvrir. Je resterai pour toujours une jeune femme mystérieuse aux yeux de tous.

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Han.Enfin un membre qui vient me voir *___*.
C'est presque étonnant --' Nan mais merci ^^.

EDIT; J'ai terminé ma fiche. =D

Désolée du retard ;)
Validé