Dustin Skye Clemments the man who can\'t accept to divorce cause he love Novalle for ever

● beautiful ~~dirty~~ r i c h

$Dustin Skye Clemments the man who can\'t accept to divorce cause he love Novalle for ever Dustin10$

_« Dustin Skye Clemments »_

âge

date&lieu de naissance

état civil

groupe

Spoiler:

. . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Tennessee, c’est dans une petite fille de cet état que je suis née, que j’ai grandit et que j’ai passé une grande partie de ma vie. Peut-être que vous avez envie de vous contenter de savoir çà sur moi ou alors vous avez envie d’en savoir plus et de connaître un peu mieux ma vie. Dans un cas comme dans l’autre sur ce petit bout de papier j’écrirais ma vie faite d’amour, de peine de désespoir et surtout d’une personne, Novalee, l’âme sœur existe et c’est en elle que je l’ai trouvé. Bienvenue sur le train en partance direct pour un long voyage dans l’histoire de ma vie.

Tout commence par une froide nuit d’octobre 1996 le 16 pour être exact. Il ne faisait pas très chaud et devant le vent soufflait très fort au point que mon père ne put emmener ma mère à l’hôpital. Avant de vous raconter mon incroyable naissance que je suis sur vous aller adorer, je vais vous parler de mes parents. Mon père a toujours été un homme d’extérieur, un peut macho qui passait son temps à travailler, sur des chantiers pour faire vivre sa petite famille. Un peu fruste, il a pourtant toujours eut le cœur sur la main. Il portait le doux nom de Dorian et une chose était sur c’est qu’il aimait ma mère plus que tout. Elena, voilà le nom qu’elle portait, un doux nom pour une personne des plus douces, elle donnait tout l’amour dont elle était capable et surtout elle avait ce côté un peu bohême et rêveur, c’est elle qui a convaincu mon père de la plus grande idée de toute ma vie. Me marier mais cette partie arrivera plus tard. Je suis donc né dans une famille des plus heureuse peut-être pas des plus riches mais tout se passait bien, on vivait confortablement et puis le plus important ce n’était pas l’argent mais le fait de bien s’entendre et de ne pas entendre ses parents se disputer à longueur de journées.

Voilà maintenant que vous connaissez l’histoire de mon avant vie si je puis dire, je peux vous parler du premier jour de ma vie enfin il faudrait peut-être que je précise que mes parents se sont marier assez jeune, ils avaient 16 ans mais cela n’a jamais été une mauvaise chose pour eux, au contraire, cela les a rendus assez relax sur la question de mariage. Le jour de ma naissance n’était donc pas un jour très beau, le vent et l’orage et puis la voiture qui avait un pneu crever. Mon père avait la salle manie de ne jamais avoir de roues de rechange ce qui fit que ma mère du accoucher à la maison. Pour notre plus grande chance nous avions une cousine sage-femme et elle arriva donc à la maison aidant ma mère à mettre au monde le plus beau des bébés c’est à dire moi. Vous n’avez jamais remarqué comme les gens aiment dire que leur bébé est le plus beau du monde comme s’ils tenaient entre leurs mains la neuvième merveille du monde. Je n’ai encore pas eut la chance d’avoir une de ses merveilles entre les mains mais j’aurais préféré peut-être que comme cela elle serait rester avec moi et ne serait pas partit. Reprenons le cours normal de l’histoire avant que je ne mette à vous raconter la partie la plus sombre et triste de ma vie. Mes parents décidèrent donc de m’appeler du doux nom de Dustin car mon arrière-grand-père portait son nom Skye c’est parce que le jour de ma naissance je regardais toujours vers le ciel et parce qu’à cette époque, j’avais le regard aussi bleu maintenant cela à bien changer maintenant. On peut dire que mes parents étaient assez heureux de m’avoir, un enfant pour eux c’était une joie de plus dans leur vie et mes parents avaient toujours voulu commencer par un garçon puis une fille et puis encore pleins d’autres enfants même si cela ne se passa pas exactement comme ils le voulurent.

Toute ma famille, les amis de mes parents ce qui voulaient dire en gros toutes les personnes vivant dans notre petite ville se trouvait donc chez moi pour me voir mais il parait que je pleurais assez quand quelqu’un me prenait dans ses bras. Sauf quand il s’aidait de ma mère, de mon père, quelqu’un de ma famille et une seule autre femme. Une femme qui avait dans son ventre sans doute la plus merveilleuse des choses qui puissent exister sur terre. Dans les bras de cette femme, Joyce c’était son nom et une chose était sur c’est que même si je n’avais que quelques semaines, il parait que je mettais ma main sur son ventre comme un signe de ce qui allait se passer quelques années plus tard. Avant ma naissance cette mère enceinte presque en même temps que ma mère et donc grâce à cela et bien elles se sont tous de suites bien entendues. Je crois qu’elles passaient tellement de temps ensemble que je connais le son de la voix de Joyce que j’avais tellement entendu quand j’étais dans le ventre de ma mère.

Un mois après ma naissance exactement à la même heure naquit une petite fille du doux nom de Novalee, vous savez la fille de Joyce. Une chose était sur c’est que je n’étais qu’un bébé lorsque je posa les yeux sur elle et pourtant. Nos mères nous placèrent dans le même berceau et ma main alla chercher la sienne. Ma mère m’avait raconté au moins cent fois cette anecdote. Il faut dire que peut de bébé de un mois prenne la main d’un autre bébé mais il y avait toujours eut une sorte d’alchimie entre nous. Les premiers mois de ma vie se passèrent assez bien, il faut dire que lorsqu’on est un bébé tout ce que l’on veut c’est avoir de l’amour, être changé et aussi nourrit. Je ne manquais de rien certes je ne vivais pas dans l’une des familles les plus riches mais je vivais bien. Et puis mes parents adoraient passer leur temps à me montrer partout où ils allaient et puis je passais pas mal de temps en compagnie de Novalee alors que je n’avais que quelques mois. Nos parents s’entendaient et je crois que c’est un peu grâce à eux que nous nous sommes aussi vite entendu. Imaginez-vous, passez une grande partie de votre temps depuis votre époque où vous portiez encore des couches culottes et où vous ne saviez pas encore marcher avec la même personne. Vous ne pouvez que l’apprécier et c’est ce qui se passait entre nous deux. Le temps passait comme partout mais il y avait une chose qui ne passait pas c’est que je passais une grande partie de mon temps en compagnie de la tendre demoiselle. On avait un an et on passait tout notre temps ensemble. Si ma mère ne me conduisait pas chez elle je piquais ma crise car je n’aimais pas être loin d’elle c’était comme si on ne formait qu’un, qu’elle était une partie de moi-même. Certes dans ma tête de bébé je ne pensais pas encore cela mais bon si elle avait finit son biberon avant moi je lui donnais le mien. Mon premier mot ne fut pas papa, maman comme tant d’autres enfants ou même caca pour les plus dégoûtants, non, ce fut son prénom sauf qu’il ne fut pas très bien prononcer çà ressemblait plus à Oalee mais c’était son nom. J’ai même ce moment sur vidéo car mes parents adoraient nous prendre en vidéo surtout quand on étaient tous les deux, sans doute car ils étaient déjà sur qu’on était fin l’un pour l’autre. On avait qu’un an mais cela ne changerait rien. Il n’y a pas d’âge pour rencontrer son âme sœur, moi je l’avais rencontré un mois après ma naissance.

Mon entrée à l’école se passa sans aucune difficulté du mois, je n’étais pas le genre d’enfant à pleurer car il rentrait à l’école mais je n’aimais pas vraiment le premier mois de cours. Il faut dire que Novalee n’était pas encore là, alors chaque jour quand je rentrais à l’école je lui racontais comment avait été ma journée en lui disant que j’attendais avec impatiente qu’elle vienne me rejoindre.

Mon entrée à l’école se passa sans aucune difficulté du mois, je n’étais pas le genre d’enfant à pleurer car il rentrait à l’école mais je n’aimais pas vraiment le premier mois de cours. Il faut dire que Novalee n’était pas encore là, alors chaque jour quand je rentrais à l’école je lui racontais comment avait été ma journée en lui disant que j’attendais avec impatiente qu’elle vienne me rejoindre. Le jour de son entrée fut sans doute pour moi un jour mémorable, il faut dire que je lui avais montré ou était chaque chose et si elle avait besoin de quelque chose et bien je le lui apportais sans aucune contrainte. Novalee était sans doute à cette époque ma meilleure amie ou quelque chose dans le genre. On passait beaucoup de temps ensemble, on rigolait, on jouait ensemble. Nos premières années d’écoles furent donc un paradis, elle et moi, moi et elle. Les professeurs avaient même commencé à nous appeler les inséparables. Vous savez ses oiseaux qui sont obliger de vivre à deux pour survivre sinon ils mourraient. Et bien c’était un peu cela, si elle n’était pas près de moi je ne me sentais déjà pas très bien. Il y avait aussi Halloween et Carnaval, on était obligé d’être cordonnées. Par exemple si elle était une princesse, je me déguisais en prince. Si elle était une indienne j’étais un indien ou en colon. La seule fois ou cela ma déranger c’est quand elle a voulu être un mousquetaire et que donc j’avais du faire la princesse. Et oui moi en costume de princesse, je sais c’est horrible mais je voulais faire plaisir à Novalee. Heureusement que je ne devais le porter que chez elle, elle m’avait autorisé à être moi aussi un mousquetaire.

J’ai toujours été un enfant assez d’ouvert d’esprit, un petit garçon s’émerveillant de tout, en même temps un peu enfantin et de l’autre côté beaucoup plus mure que la plupart des gens de mon âge. J’étais une sorte de mixte, sur certain point je grandissais plus vite et sur d’autres j’allais plus doucement. Il y a une chose que j’ai appris et très tôt même c’est à me montrer protecteur. Ce mot, je l’ai bien apprit lorsque j’avais 4 ans. Et oui ce ne fut pas Novalee qui me l’apprit mais ma mère, il faut dire qu’elle attendait dans son ventre ma petite sœur et chaque jour elle me répétait que lorsqu’elle serait là, il faudrait que je la protége que je prenne soin d’elle car j’étais le grand frère. Au départ je n’avais pas vraiment comprit ce qu’elle voulait me dire mais lorsque celle-ci pointa le bout de son nez et bien je compris beaucoup mieux. Il y avait cette petite chose dans les bras de ma mère et dès que je la vis, je n’eus qu’une seule envie que personne ne l’approche et ne lui fasse du mal. C’est comme çà que je compris le mot protecteur à l’époque. L’arrivée de ma petite Rosalia ne fut pas quelque chose d’horrible pour moi. Au contraire, c’était tellement mignon de la voir dormir et de la voir grandir. Pendant quelques temps Novalee fut même un peu jalouse car je passais un peu moins de temps avec elle et beaucoup plus avec ma tendre sœur. En tout cas une chose était sur c’est que j’étais un petit garçon tous ce qu’il y a de plus heureux.

A sept ans je fis l’une des plus grande découverte de toute ma vie, je compris enfin ce que je ressentais pour l’une des personnes les plus importantes de ma vie. Quand on est un petit enfant on dit à quelqu’un qu’il est notre amoureuse sans vraiment connaître la signification du mot amour et moi qui n’avais pas envie d’en avoir une mauvaise définition je l’avais demandé à ma mère. Elle m’avait dit que c’était quand on éprouvait quelque chose de fort pour quelqu’un, qu’on voulait passer une grande partie de son temps avec cette personne, qu’on ne supportait pas de la voir triste. Que ce que l’on aimait le plus au monde c’est de la voir sourire et que chaque seconde passée loin d’elle nous rendait des plus tristes. Que notre cœur battait plus fort quand on était à ses côtés. Pendant que ma mère me faisait cette déclaration sur ce mot qu’est l’amour, je me mis à réfléchir et de suite je compris que j’aimais quelqu’un depuis la première fois que je l’avais vu. J’aimais Novalee, c’est exactement ce que je ressentais pour elle. Je la protégeais comme la prunelle de mes yeux, si quelqu’un l’embêtait, je me bagarrais et puis je faisais sécher ses larmes. Si elle avait fait tomber sa glace, je lui donnais la mienne. Je me comportais souvent avec elle comme si j’étais plus âgé. Dès le lendemain je lui avais dit que je l’aimais et elle m’avait regardé avec une tête amusée en me répondant qu’elle aussi. On était un peu déjà un couple d’amoureux de toute façon toute la ville était déjà sur que l’on finirait notre vie ensemble. Il n’y avait même pas besoin de mots car simplement avec des regards on pouvait comprendre l’amour qui nous unissait. Je crois que s’il avait fallut à cet âge là et même après j’aurais donné mon cœur si le sien n’avait pas fonctionné. J’aurais pu donner ma vie pour elle je crois que je pourrais toujours la lui donner.

. . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . .

10 ans fut sans doute un âge décisif pour moi. Déjà j’étais un petit garçon qui avait des idées bien précises. Bien sur, je m’amusais comme chaque enfant de mon âge me je réfléchissais déjà à mon avenir et à ce que je voulais qu’il se passe. Je n’étais pas quelqu’un de difficile, jouant aux barbies avec ma sœur ou même Novalee s’il le fallait, je voulais juste être moi-même. Ce fut par une belle soirée d’été que je fis un film qui me donna plein d’idée, çà parlait de deux adultes qui s’aimaient depuis leur plus tendre enfant mais qui malheureusement avait épousé d’autres personnes car ils ne s’étaient pas dit assez tôt qu’ils s’aiment et ne s’étaient pas mariés. Cela me mit en tête l’idée que si je laissais trop passer de temps et bien elle aimerait quelqu’un d’autres ou épouserais quelqu’un qui lui aurait demandé auparavant. C’est pour cela que j’ai passé toute une matinée à crée une bague en réglisse. Après cela j’emmenai Novalee dans une clairière près du lac. J’avais l’habitude d’aller lancer des cailloux avec elle là-bas, c’est même l’excuse que je lui avais dite. Dans un petit mouchoir, j’avais emballé la précieuse bague tout en espérant avoir un oui. Dans ma petite tête d’enfant je n’avais aucune idée de l’ampleur de la réaction si elle m’avait dix non. J’avais 10 ans et pourtant j’étais sur qu’elle était la femme de ma vie, celle qui me fallait à mes côtés. Je ne me voyais pas vivre ma vie sans elle et j’avais envie qu’elle vive avec moi pour le restant de ma vie. C’était mon âme sœur et je ne voulais qu’elle. On pourrait me donner toutes les filles de la terre çà n’aurait pas été-elle. Cette prise de conscience à 10 ans çà doit sans doute venir de ce côté beaucoup plus mature en moi. Je l’avais donc laissé s’asseoir en premier, en fait Novalee se dépêchait toujours pour avoir le plus gros morceau de pierre mais ce qu’elle ne savait pas c’est que je faisais exprès d’être lent. Je me moquais bien d’être bien assis du moment qu’elle l’était. Au départ j’avais beaucoup de difficulté à lui demander.

« Novalee comment vas-tu aujourd’hui ? »
« Je vais bien et toi ? »
« Moi aussi et puis tu sais bien que je vais toujours bien quand je suis avec toi. »
« Moi aussi tu sais. »
« Alors qu’est ce que tu as fais aujourd’hui ? »
« Pas grand chose et toi ? »
« Ah bah moi, je t’ai fais un cadeau. »
« Ah oui je veux le voir. »
« Pas tout de suite il faut que je te pose une question avant. »
« Vas-y, je t’écoute. »
« Est-ce que tu m’aime ? »
« Quelle question, bien sûr que oui. »
« Alors voudrais-tu faire quelque chose pour moi? »
« Tout ce que tu voudras.»
« Épouses-moi. »
« Et pourquoi voudrais-tu m'épouser de toute façon?»
« Parce que ainsi je pourrais t'embrasser autant de fois que je le voudrai et puis parce que tu es la fille à qui je pense toute la journée, je n’ai que toi dans ma tête. Te voir heureuse me rend heureux, j’ai le cœur qui bat beaucoup plus fort quand tu es prêt de moi. Tu veux bien m’épouser Novalee Love Smith car tu ferais de moi le garçon de 10 ans le plus heureux de toute la terre. »

Le fait qu’elle n’ait pas encore répondu à mon petit discours m’avait fait un peu, j’avais pensé qu’elle ne voulait pas de moi et qu’elle allait partir en courant. Heureusement ce ne fut pas ce qu’elle fit, elle m’embrassa pas comme une fille de 10 ans embrasse un garçon, ce n’était pas un tout petit bisou, non c’était un bisou de grand comme je l’appelais à l’époque. Un baiser tendre et passionné que je pris pour un oui ce qu’il était. Novalee acceptait de devenir ma femme, elle m’aimait autant que je l’aimais, elle voulait vivre avec moi pour l’éternité. Alors je l’embrassai à mon tour, un baiser aussi bon que le sien avant de sortir de ma poche le mouchoir contenant la bague et de la lui mettre à son doigt. Je mettais mis à genoux pour faire comme un grand, j’avais envie que tout soit parfait. Avec son accord, il ne nous manquait plus qu’une chose pour que notre mariage se fasse l’accord des parents. Bon il est vrai qu’avant d’aller leur demander, on est un peu resté à deux à s’embrasser avant d’aller voler quelques nains pour célébrer tout çà. On était le couple à bêtise, une sorte de Bonnie and Clyde kidnappeur de nains, futur grand sauveur de la perruque du juge et délivreur de cheveux. Des petits diables ressemblant à des anges deux être qui ne formaient qu’un tout voilà ce que nous étions et ce que nous resterions sans doute à jamais.

Ce fut en rentrant chez moi que nous avions apprit à nos parents ce que nous voulions faire. Et oui, ses parents revenaient la chercher chez moi et nous étions sur de ce que nous allons leur dire. Et oui, on voulait se marier, je voulais l’avoir pour femme, je n’avais aucune envie d’attendre une minute de plus. Elle était ma vie et une chose était sur c’est que cela ne changerait jamais. Je mettais donc préparer à leur dire que je voulais épouser Novalee et dans les plus brefs délais, je ne voulais pas attendre au risque de la perdre. Je dis donc à mes parents et au siens que j’avais demandé Novalee en mariage et que je voulais l’épouser, elle était la femme de ma vie et je voulais que tout le monde le sache. Au départ nos parents crurent que je disais une blague et se mirent à rire comme si j’étais le genre de petit garçon à vouloir imiter les grands. Non je l’aimais vraiment et c’est ce que je fis comprendre à nos parents qui me regardèrent tout à coup d’un autre œil comme si je n’étais plus un petit enfant mais quelqu’un de plus âgé. Au départ ils furent assez réticents mais lorsqu’ils virent que j’étais sérieux et que je voulais vraiment l’épouser, ils acceptèrent tout en me disant que l’on ne pourrait pas vraiment être marier avant nos 16 ans mais dans notre cœur nous serions marier. Ce fut donc un très beau moment dans mon existence, elle et moi et nos parents qui acceptaient que l’on se marrie. J’avais immédiatement été prévenir ma sœur pour lui dire qu’elle serait en quelque sorte ma demoiselle d’honneur. La cérémonie fut sans doute l’un des plus beaux de mon enfance. On était près du lac et mon père avait fait une merveilleuse allée de pierre qui conduisait jusqu’à une petite estrade que je trouvais magnifique. Tous nos amis et presque toute la ville se trouvait à côté de nous pour célébrer notre parfaite union. Ce soir-là, ce fut la première fois que Novalee dormait chez moi du moins qu’on dormait l’un avec l’autre d’habitude elle dormait dans un petit lit pliant mais nous étions marier alors on en avait le droit. Depuis cette nuit ce fut comme une habitude pour nous. On dormaient toujours l’un chez l’autre, l’un avec l’autre, on ne se séparaient plus du tout. S’aimer voilà ce qui nous unissait et cela ne changea pas lorsqu’on grandit.

Les années qui suivirent ne furent pas bien différentes. Je passais toujours une grande partie de mon temps avec ma femme et tout se passait dans le meilleure des mondes. J’étais passée de l’enfance à l’adolescence sans vraiment aucune difficulté. J’avais une vie assez parfaite, je n’étais pas vraiment du genre à travailler à l’école. En fait dès qu’il fallait étudier c’était pour moi l’une des pires choses au monde c’est sans doute pour cela que je ne travaillais pas beaucoup par contre j’étais très habile de mes mains. J’étais un excellent dessinateur, peintre et sculpteur et j’adorais aussi jouer de la musique. Voilà ce qui me plaisait dans la vie et en aucun cas faire quelque chose d’intellectuel. Ma vie était aussi belle que possible. Je m’entendais avec mes parents, ma sœur et je filais le parfait amour. J’étais marié à la plus belle femme de la terre et rien ne nous empêchaient d’êtres heureux. Personne n’arrivait à nous séparer les professeurs, si l’ont étaient loin l’un de l’autre en classe et bien on se rapprochait ou on s’envoyait des mots. De toutes façons nous n’étions pas des adolescents très sages. A deux on faisait les pires bêtises, on passaient notre temps à faire des bêtises et quelques fois on passait notre après-midi dans le bureau du shérif. On était connu comme les deux petites canaille de la ville. Combien de perruques et de nains de jardins on a détruit, quel était le nombre de chevaux qui avaient retrouvé la liberté grâce à nous ? Pas mal je pense. J’avais ce côté rebelle et pourtant en même temps j’étais beaucoup plus mature que les garçons de mon âme, à 14 ans, j’avais déjà un travail en dehors des heures de cours car il me fallait de l’argent. J’étais marié et je voulais offrir ce qu’il y avait de mieux à Novalee. Elle et bien de temps en temps elle me traitait de fou, me disant qu’à mon âge je ne devrais pas travailler même si c’était pour elle. Enfin je n’étais pas du genre à me laisser faire facilement surtout quand j’avais raison. Notre vie n’avait pas de problèmes, on était heureux, dormant l’un chez l’autre, je connaissais sa chambre par cœur et il y avait même une armoire qui était destiné pour mes propres vêtements chez moi c’était la même chose sauf que je lui avait accordé beaucoup plus de place pour ses vêtements. Je devais aussi avoir la chambre de garçon la plus propre de la terre, ne voulant pas qu’elle vive dans une vraie porcherie. Nous avions des amis et ceux-ci s’étonnaient qu’on n’en ait pas marre l’un de l’autre ou qu’on ne cherche pas à en aimer d’autres. Pour moi je n’avais aucune envie même de regarder une autre fille c’était impossible. Je n’aimais qu’elle et à côté d’elle et bien toutes les filles de la terre n’étaient rien. Bien entendu, il m’arrivait d’être jaloux si un homme s’approchait trop de Novalee j’avais peur de la perdre, par contre personne ne pouvait lui faire du mal, je la protégeais comme si elle était une chose fragile. Malgré nos bêtises Novalee était plus introvertie et moi j’étais un peu son opposée, j’étais extroverti et la chose qui comptait le plus à mes yeux c’était son bonheur.

L’année de mes 16 ans fut sans doute l’une des plus joyeuses de toute ma vie, le 16 novembre exactement, j’avais amené, Novalee près du lac, notre endroit et je l’avais installée confortablement. Par miracle, il ne pleuvait pas ce jour-là comme si même le ciel avait décidé de tout faire pour que ce moment soit inoubliable. Dans ma poche je tenais quelque chose d’unique car cette chose m’avait coûté une bonne partie de mon salaire de cette année, j’avais travaillé dure pour cette chose et elle n’était pas aussi exceptionnelle que je l’aurais voulu. A cet instant quand je la regardais dans les yeux je me disais qu’elle méritait beaucoup mieux que ce que j’allais lui offrir, si j’avais pu, je lui aurais donné la plus chère et la plus brillante bague au monde. Je la sortis donc de ma poche, j’étais à genoux et je lui tenais la main, je lui montrais la bague, cette bague de fiançailles pour notre vrai mariage. On ne se lâchait pas des yeux, je vis mêmes des larmes coulés des siens ce qui fit avoir le même effet au miens. Il n’y avait pas besoin de mot pour savoir ce qu’on voulait dire. Après quelques instants, je mis la bague à son doigt avant de l’embrasser, j’étais heureux car elle allait enfin devenir ma femme, ma vraie femme. Le mariage était prévu pour avril et Novalee avait un peu été étonnée qu’on le fasse si loin. Je lui avait faire croire que c’était parce que mes parents s’étaient mariés en avril mais c’est surtout qu’il fallait que mon cadeau soit construit. Vous vous demandez sûrement ce que j’avais prévu. Et bien vous le saurez bien à temps, je passais beaucoup de temps à la préparation de ce cadeau et toute la ville m’aidait alors qu’elle et bien elle n’était au courant de rien.

Notre mariage fut sans doute l’un des moments les plus parfaits de toute ma vie. L’église avait été décorer de roses blanches et rouges. Et puis, je portais un merveilleux costume que j’avais acheté et qui m’allait à ravir mais la plus belle de toutes les choses de cette journée c’était Novalee dans sa magnifique robe blanche. J’avais fait une tête plus qu’heureuse en la voyant. La cérémonie fut longue belle et je n’attendais qu’une seule chose c’est qu’on dise oui. Et heureusement cela arriva après se passa une petite fête en ville qui dura tout l’après midi. Quand le soir arriva, je mis un bandeau sur ses tendres yeux avant de l’installer dans la voiture et de conduire. Je ne lui disais pas où on allait je voulait qu’elle en ait la surprise. Lorsque j’enlevais le bandeau, elle se retrouvait devant notre lac tout en se demandant ce qu’il y avait. Je la retournai alors et elle vit une maison notre maison c’est que je lui dis dans l’oreille c’était mon cadeau pour notre mariage une maison rien qu’à nous. Il y avait déjà tout ce qu’il fallait dedans, nos affaires ce qu’on aimait. J’avais mis dans notre chambre, des pétales de roses rouges partout et des millions de bouger. Cette nuit-là ce fut notre première fois, on voulait tous les deux attendre d’être vraiment m’arriver. Novalee Love Smith Clemments. Elle et moi pour toujours c’est que je pensais.

. . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Notre vie était donc parfaite, on vivait ensemble et cela faisait un an que l’on était vraiment marier, tout allait comme sur des roulettes, on passait notre temps à deux on étaient un vrai couple, avec nos bêtises qui s’étaient quand même calmer mais après trop de bonheur il y arrive malheureusement un moment de malheur et c’est ce qui se passa. La jeune femme avait l’air d’être toute chamboulée lorsqu’elle rentra chez elle. Je me demandais vraiment ce qu’elle avait pour aller aussi mal. Elle me dit de m’asseoir ce qui ne me rassurais pas du tout. Lorsqu’elle se mit à parler, ma tête changea tout à coup, qu’est ce qu’elle venait de dire, qu’elle était enceinte. Comment cela pouvait-être possible enfin je savais comment cela était arrivé mais parents à 17 ans cela ne pouvait pas nous arriver, on était trop immature, pas prêt pour être parents. Le pire c’est que je ne savais pas quoi lui répondre car je n’avais aucune idée de comment réagir. J’allais être papa, j’étais marié depuis 7 ans et pourtant l’idée d’être père ne m’avait jamais traverser l’esprit. Etrange la vie des fois. Je ne savais pas quoi dire mais elle se mit à pleurer et je ne supportais de voir les larmes au bord de ses yeux. Impossible pour moi de la voir souffrir de la voir aller de mal en pire. Je la pris dans mes bras lui disant que tout allait s’arranger qu’on allait trouver une solution. J’étais sous le choc mais je n’aimais pas la voir aller mal. J’avais passé toute la soirée à la prendre dans mes bras tout en ayant mes mains sur son ventre. Elle avait un enfant, mon enfant. Au départ l’idée d’être père me faisait peur mais après quelques semaines, cela avait changer, j’étais marié à la plus belle femme au monde et je voulais des enfants d’elle alors même si cela arrivait plus tôt que je ne l’aurais penser, cela ne faisait pas vraiment de différence. Et puis Novalee avait l’air tellement heureuse que cela me rendait heureux.

Malheureusement le bonheur ne dura pas, quelques temps après que Novalee fut enceinte et bien il y eut des complications. J’étais chez nous avec ma femme quand elle a commencé à être prise de saignement, à ne pas aller très bien et je peux dire que sur le coup j’ai eut assez peur pour elle. Ni une ni deux, je la pris de mes bras pour l’emmener à l’hôpital, j’avais tellement peur de ce qu’elle pouvait bien avoir, j’avais tellement peur de la perdre. Heureusement, elle resta en vie même si tout n’avait pas été comme prévu, elle avait perdu son bébé, mon bébé notre bébé. Et moi comme un imbécile je n’avais aucune idée de quoi lui dire pour lui remonter le moral, j’étais moi-même trop effondrer. J’avais déjà chercher des prénoms dans ma tête, j’avais rêver de notre vie à trois mais je ne lui en voulais pas. J’avais seulement peur de l’état dans lequel elle pourrait être à cause de cette nouvelle. Mais elle avait l’air de le prendre bien, trop bien. J’avais un peu l’impression de l’avoir perdue. Elle ne parlait plus vraiment, elle était près de moi mais elle me semblait tellement éloigné et quand je lui demandais si elle allait bien, elle me répondait oui alors que j’étais sur que ce n’était absolument pas le cas. Je ne voulais pas la brusquer mais pourquoi est-ce qu’elle ne se confiait pas à moi. Je l’aimais mais je la perdais, cela me faisait tellement peur. Malheureusement je n’imaginais pas à quel point. La mort de notre enfant allait tout changer. J’étais partie promener mes chiens après lui avoir dit à quel point je l’aimais. Je n’étais pas très content de la laisser seule mais j’étais bien un peu obligée. Si j’avais écouté mon instinct et bien je serais rester et tout ce qui se serait passer après n’aurait peut-être pas eut lieux.

Alors que j’étais de retour à la maison, je l’avais appeler car je ne la voyais pas dans la cuisine. Mais personne ne me répondit alors je cru qu’elle était tombée, qu’elle s’était fait mal, je me dirais vers la salle de bain mais elle n‘y était pas tout en continuant de crier, je rentrais dans la chambre et c’est là que je la vit. Non ce ne fut pas son corps que je venait de trouver mais une lettre. J’avais déjà peur de l’ouvrir, j’en lu les premiers mots et je sentis les larmes me monter aux yeux, à la fin j’étais à terre complètement abattus. Je n’en revenais pas, ce n’était pas possible ce qui venais de se passer. Elle était partie, elle avait besoin de temps pour elle mais lui, il ne pouvait pas vivre sans elle. Il fallait qu’elle revienne, elle avait mis sur le mot qu’elle allait revenir, elle reviendrais, il le fallait. Je n’aurais jamais imaginer à l’époque qu’il était possible de vivre sans elle, je l’aimais, elle était ma vie. Et elle était partie emportant toutes ses affaires, personne ne savait ou elle était. Elle n’avait laisser qu’un pull qu’elle avait oublier même sa robe de mariage elle l’avait emporter. Je voulais qu’elle revienne et je me pris une bière pensant que ce n’était qu’une mauvaise passe, qu’elle reviendrait bien vite, elle devait accepter ce qui s’était passer la mort de notre enfant. Toute la semaine je l’avais passé chez moi, je n’en étais pas sortit car j’attendais qu’elle me revienne, je ne voulais pas sortir, de peur qu’elle revienne et que je ne sois pas là. Je voulais ma Novalee je me sentais tellement mal dans elle. Mais elle ne revenait pas, personne ne savait ou elle était et moi je restait enfermer proscris ne voulant rien faire, je n’allais plus en cours, je ne faisais plus rien. Même ma sœur avait du mal à me parler, je n’avais envie de rien je faisais n’importe quoi, je ne mangeais que très peu. Le pire c’est que ma sieur voulait m’aider mais je ne voulais pas d’aide, je voulais rester seul chez moi, je voulais qu’elle revienne mais malheureusement tout ne se passe pas comme on veut. Et ce fut mon cas.

Six mois, ce fut le temps pendant lequel, je ne faisais rien d’autre de mes journées que de l’attendre, d’attendre son retour qui ne venait pas. Je n’avais plus de travail car mon chef avait été obligé de me renvoyer vu que je n’y venais plus. Je passais mes journées, à peindre, sculpter ou dessiner son tendre visage. Mes chiens voilà avec quoi j’occupais mes journées faire qu’ils aillent bien. Elle avait dit dans sa lettre qu’il fallait bien s’occuper d’eux mais moi qui allait s’occuper de moi après son départ. Personne n’osait me laisser seul, ils avaient tous peur que je fasse une bêtise, que je me tue ou quelque chose dans le genre. Je n’étais pas ce genre de mec et puis si elle revenait, je ne voulais pas qu’elle ne voit que mon cadavre. Cette période fut sans doute l’une des pires de toutes ma vie et le destin avait bien décidé de ne pas s’arrêter là avec moi. Quelques mois plus tard j’avais dans les 18 ans quand j’appris qu’un cancer venait d’être diagnostiquer à ma tendre mère. Cela n’arrangea pas vraiment mon moral, elle n’avait plus que deux ans à vivre au maximum. Quelque chose de plus qui me tombais dessus et une chose est sur que ses deux années fut les pires de toutes ma vie. Ma sœur avait beaucoup de mal à vivre une adolescence normale avec ma mère passant pas mal de temps à l’hôpital, mon père qui allait de plus en plus mal et moi qui ne faisais rien passant mes journées entres protéger ma sœur, parler à ma mère, promener les chiens et attendre le retour de Novalee. Deux ans sa peut passer tellement vite, et tellement lentement quand on ne fait rien d’autre qu’attendre. Attendre un sourire, un geste, une retrouvaille, que un proche malade guérisse que tout redevienne parfait comme avant. Un peu moins de deux ans, ce fut le temps que vécu ma mère sur cette terre, elle m’avait fait promettre deux choses, la première était que je m’occupe de ma sœur, que je prenne soin d’elle encore plus qu’avant et deuxièmement que je vive ma vie, que je n’attende plus Novalee, qui ne reviendrait sans doute pas. La première je la fis à la minute même ou elle ferma les yeux, ma sœur était une partie de moi, je la réconfortais dans cette douloureuse épreuve, lui donnait tout l’amour d’un frère et faisais tout pour qu’elle arrête de pleurer. Elle vient même s’installer chez moi car mon père depuis la mort de ma mère était devenu un alcoolique qui passait ses journées à ne rien faire. Ce fut quelques mois plus tard que je tenus la première promesse que j’avais faite à ma mère. J’étais partie passée un week-end à Philadelphie pour décompresser et surtout pour faire plaisir à ma sœur. Moi et une bande d’amis nous étions à un bar quand j’ai préférer m’éloigner et m’asseoir seul. C’est à ce miment-là que je fis la connaissance de Caleigh, elle était juste à côté de moi au bar. Elle a commencé à parler et nous avons continuer pendant des heures et des heures tout en buvant, on parlait de tout et de rien. Quand je lui dis que je n’avais aucune envie de retourner à l‘hôtel pourrit ou je restais. C’est alors qu’elle me proposa de venir dormir chez elle chose que j’acceptai, je devais profiter de ma vie, je l’avais promis à ma mère. Bien entendu nous n’avions pas vraiment fait que dormir cette nuit-là mais dès le lendemain je rentrais chez moi dans ma petite ville et je ne lui ai plus jamais parler.

En rentrant chez moi, je n’avais qu’une envie qu’elle revienne tout en oubliant ma peine dans les bras d’autres femmes, aucune relation vraiment sérieuse, je ne voulais pas que mon cœur appartienne à une autre. Mais le jour de mes 21 ans quand je reçus un papier sur lequel il était noté le nom d’un avocat, ma tête changea de couleur. J’ouvris les papiers et ce que j’y lis me figea, elle voulait le divorce, elle voulait qu’on divorce ce n’était pas possible et je ne voulais pas, je n’étais pas capable de le supporter. Je renvoyais immédiatement les papiers en n’y mettant à la place de ma signature, un je t’aime suivis d’un reviens-moi. J’étais sous le choc, elle ne voulait plus de moi, elle ne m’aimait plus. J’avais envie de mourir, Novalee ne m’aimait plus elle ne voulait plus de moi. J’avais passer la journée à pleurer avant d’aller dans ce bar, pendant la nuit. C’est là que je fis la connaissance de Pandora, ma meilleure amie ou quelque chose qui s’y rapproche. Je buvais seule au bar quand elle est venue vers moi. AU départ, je ne parlais pas vraiment mais après quelques temps, j’ai commencer à avoir une vraie conversation avec elle. On a beaucoup parler et elle m’a ramener chez moi car j’avais un peu but sans qu’il se passe quelques choses. Mais quelques temps plus tard, alors qu’elle me ramenait chez moi. Tout ne se passa pas comme prévu. Il avait de l’orage et elle ne voulait pas qu’il la laisse seule alors il était rester. Elle s’était approchée de moi, je n’étais pas partit, et l’on sait embrasser bien entendu cela alla beaucoup plus loin. Malheureusement dès le lendemain j’essayais d’oublier ce qui s’était passé, c’était ma meilleure amie et je n’avais pas envie de plus car j’aimais toujours Novalee. Mais cela ne plut pas à Pandora qui décida de m’en parler et vouloir que je lui dise quelque chose. J’ai dit que ce n’était rien juste une erreur et elle se mit à pleurer par ma faute, ne le supportant pas, je l’avais prise dans mes bras lui disant que j’étais désolé mais que je ne pouvais pas en aimer une autre que Novalee. Mais elle disait qu’elle voulait quand même qu’on essaye et elle arriva à me convaincre. C’était toujours ma meilleure amie même s’il y avait quelque chose en plus, une sorte d’amitié améliorée mais c’était souvent quand elle le voulait, je ne voulais pas la blesser, la perte elle aussi.

Maintenant je vis à Philadelphie, je suis venu ici car Novalee m’envoyait tellement de demande de divorce que j’ai commencer à chercher où elle vivait. Dès que j’ai su qu’elle était ici, j’ai décider d’y venir, pour lui dire en face que je n’avais aucunement l’intention de divorcer malheureusement je n’ai jamais haussez aller chez elle. J’étais donc partie de ma ville natale en laissant une mettre à Pandora lui disant que j’étais désolé mais qu’il fallait que je retrouve Novalee et que je ne voulais pas la blesser, je l’adorais mais tout était compliquer, dans ma tête dans mon cœur. Je n’étais bien entendu par partit seul, j’avais mes chines et mêmes des nouveaux et aussi ma petite sœur qui avait eut quelques problèmes en tombant enceinte et moi je voulais la protéger. Je suis ici pour le boulot mais surtout pour retrouver la femme que je ne pourrais jamais cesser de l’aimer, je veux qu’elle reste ma femme, je veux qu’elle m’aime de nouveau. Et c’est ici que se termine ma vie, en espérant qu’elle aille vers le meilleur.

. . . . . . . . . . . . . . . . . . .

C'est vraiment une très belle fiche =)
Je te valide avec plaisir, mon mari qui ne veut pas me donner le divorce ^^

Merci beaucoup

Et qui ne divorcera pas ^^