Shameeka b. | Hinclay

Once upon a time...

Dix neuf août mille neuf cent quatre vingt cinq, dans un hôpital réputé à New York, une jeune femme venait de s'endormir après un moment intense. Lorsqu'elle ouvra les yeux, son mari tenait leur fille dans ses bras. Il s'approcha de sa femme, fit apparaitre un sourire. Il lui déposa sa fille, puis s'asseyait près de sa femme. Ce jeune couple, avait eu pour preuve de leurs amour, une magnifique fille. Et pourtant...

Oh chéri, elle est magnifique...
Oh comme toi mon amour! souriait-il, puis l'embrassa.
Il lui faudra un nom aussi doux que la brise de vent...
Tu sais j'avais penser à ce nom qu'on avait adorer quand on était partit en vacances...
Oh oui! Shameeka, j'adore! Belle trouvaille, chéri! s'exclama la jeune maman.
Shameeka Baley, j'ai toujours adorer, et tu avais dit oui, quand on en avait parler...
Biensur!... Elle ressemble à un ange.
Oui...Je t'aime Lenah.
Je t'aime aussi...

Ils s'embrassaient un long moment. Leurs vies étaient parfaite. Madame Hinclay était une riche héritière, alors que son époux était un patron d'une grande entreprise. Ils avaient une adorable fille. Rien n'était plus parfait que leurs vie. Si on chercherait la famille idéale, il fallait aller à leurs adresse. Les deux jeunes parents s'étaient rencontrés à un gala mondain, ils étaient des héritiers de grande famille. Lenah Hinclay venait d'Angleterre et avait fait un voyage spécialement pour les Etats-Unis pour ce fameux gala. Alors que Joe Hinclay était un amériain pur. Mais quand Madame Hinclay tomba enceinte, ils décidèrent que l'Amérique était beaucoup mieux pour leurs futur famille.

Alors que Shameeka avait dans les onze ans, sa mère était venue l'a voir, après une dispute qu'elle avait eu avec son mari. Shameeka était assise sur son lit, les jambes ramenaient, la tête baissait. Elle n'aimait pas les disputes, et ces parents en avaient de plus en plus.

Meeka, ça va ?
Oui...
Viens par là.
Sa mère s'asseya sur le lit de sa fille, et l'a serra dans ses bras, et lui caressa la tête pour l'a réconforter.
Pourquoi il crit toujours comme ça ?
Tu sais Meeka, parfois entre les adultes, il y a souvent des disputes, mais ça passe ensuite...
Lenah Hincley déposa un baiser sur la joue de sa fille. Si sa fille savait que Monsieur Hinclay ne faisait pas que lui criait dessus.
Allez, il faut aller dormir.
Oui...[/it] Elle se mit dans son lit.
[i] Je t'aime Meeka.
Moi aussi maman.
Sa mère l'a regarda tristement, puis l'embrassa.

Alors qu'elle fermait la porte, elle s'y adossa et laissa couler des larmes. Elle était tellement désolée...


First bad part of my life...

Madame Hinclay était dans la salle de bain, elle regardait les hématomes qu'elle avait sur son corps. Joe y était aller trop fort. Elle n'en pouvait plus, et puis cela faisait déjà tellement de fois qu'il abusait d'elle. Il n'y avait plus d'amour entre eux, plus rien. Il l'a frapper et l'a violer. Elle restait pour sa fille, mais ce jours là, elle n'en pouvait plus. Elle ne vivait plus, sa vie n'était pas le conte de fée de départ. Elle souffrait tellement. Chaque jour, son corps était meurtrie, et à l'intérieur d'elle, elle n'était plus vivante. Alors qu'elle cherchait des calmants, elle tomba sur une lame de rasoir. Elle l'a prit et la regarda, oui c'était ça la solution. Elle l'approcha de son poignet. Elle entailla doucement, mais profondément. Elle sentit de la douleur, une intense douleur, elle se laissa glisser contre le carrelage de la salle de bain. Elle avait prit une tonne de médicaments avant ça pour se calmer. Mais alors que c'était une simple entaille, les médicaments rajouta des effets. Elle perdit doucement connaissance. Son sang coulait, encore et encore. Elle était tellement désolée pour sa fille, elle la laissait seule face à son cauchemar. Elle savait que son geste était lâche, et elle en était tellement désolée.
Shameeka était en train de dormir, quand elle se leva. Une envie pressante, elle sortit de sa chambre. Son père n'était pas rentrer, c'était souvent comme ça. Elle ouvrit la porte de la salle de bain, et s'arrêta soudain. Là, sa mère gisait dans son sang. Elle ne comprit pas tout de suite. Mais les larmes venaient. Sa mère s'était suicider, pourquoi l'avait-elle laisser avec lui. Malgrè le sang qu'il y avait partout dans la petite pièce, elle s'approcha de sa mère, et l'a serra contre elle, serra sa tête sur son corps.

Maman, pourquoi ? ...Je croyais que tu m'aimais...

The life...but

Ce soir là était rester graver dans la mémoire de la petite Shameeka Baley Hinclay. Elle n'avait que onze ans et plus de mère. D'un côté, elle en voulait à sa mère de l'avoir laisser toute seule, elles étaient tellement proche toute les deux.

Elle se prépara pour les funérailles, une robe noir que sa mère adorait, un petit serre-tête avec un nœud papillon comme sa mère lui disait toujours: Les nœuds papillon c'est la touche glamour, ma Meeka. Sa mère avait toujours été une fana de mode. Elle s'était mariée très tôt, et sa fille même pas un an après son mariage. Alors, la relation qu'elle avait avec sa fille était très copine copine, et Shameeka avait toujours adorer avoir une mère comme ça. Et elle était morte si tôt, si jeune pour une jeune femme qui venait de commencer la vraie vie. Elle partit dans la voiture que son père avait envoyer. Biensur, il était toujours à son boulot, et se foutait complètement d'elle. Le soir où il avait retrouver sa fille assise, pleurant près de sa mère. Il avait été choqué, mais il disait qu'elle était stupide, et que la vie était comme ça. Arrivée au cimetière où se passait la mise sous terre, son père était là, à faire l'hypocrite. Shameeka savait très bien qu'il faisait semblant, il voulait juste avoir l'argent de sa femme et faire bonne figure. Pendant l'enterrement, Shameeka était devant, se tenant les mains. Elle regardait le cercueil. Elle tenait un lys dans sa main. C'était sa fleur préférer. Elle lui disait souvent quand elles allaient au fleuriste: Les lys te ressemble je trouve. Fragiles mais si belles. Et Shameeka rigolait à sa remarque. Tous ces souvenirs lui faisait mal au fond d'elle. Sa mère était tout pour elle. Elle empoigna ensuite un peu de terre, et l'a déposa sur la tombe qui était au fond du trou prévu pour. Puis, elle jeta le lys aussi. Le lys restera près d'elle, un moyen pour dire à sa mère qu'elle sera toujours près d'elle.

Après ce jour, Shameeka remarqua très vite le vrai caractère de son père. Jamais elle n'avait penser que son père pouvait être si agressive. Après la perte de sa mère, Shameeka était devenue très adulte dans sa tête. Elle se débrouillait seule pour tout. Étant petite, elle était Shameeka la fragile et la gentille fille. Mais dès le collège tout changeait.

Most bad part(y) of my life...

Elle avait changée beaucoup de caractère, elle était devenue Shameeka Baley Hinclay la populaire du collège. Tout le monde l'a connaissait. Elle connu les fêtes très vite, et les garçons aussi.
Alors qu'elle venait d'entrer au lycée, elle avait quinze ans tout juste. Déjà qu'au collège, elle était hyper populaire, alors au lycée ça s'accentua. Pas populaire dans le sens, où elle trainait avec ces petites poupées barbies, ou taper sur tout le monde, ou faisait du mal. Non, elle était populaire parce qu'au contraire, elle était l'adversaire de ce genre de filles. Elle était douée dans pleins de domaines, intelligente et belle, riche et populaire, aimer et adorer, que demander de plus ? Et bien, toute cette merveilleuse vie de contes de fées tomba à l'eau... En une soirée, il faut croire. Je vais vous contez, le deuxième moment le plus désagréable de sa vie, de sa vie de princesse.

Alors que Shameeka était à une fête, son père était plus qu'énervé. Il lui disait de rentrer de suite. Il avait dit à sa fille qu'elle devait pas sortir parce qu'il n'avait pas les clés. Mais, Shameeka n'allait pas rester juste parce qu'il avait oublier ces clés. Elle lui avait laissée un message sur son portable, pour le prévenir, et lui dire qu'elle avait cacher les clés sous le rocher dont ils étaient habitués en cas d'oubli. Alors elle partit. Elle avait un peu but mais pas assez pour être saoule ou ne pas avoir les idées claires. Elle portait une belle robe de cocktail noir, bustier qui lui arrivait aux milieux de ses cuisses, accompagnait d'escarpins à très haut talons couleur rouge. Elle arriva à la maison, elle était dans l'entrée, puis voulut monter mais son père n'eut pas le même avis.

Je t'avais dit de ne pas sortir!
Parce que tu avais oublier tes clés, mais je les est laissés à l'entrée, et je t'es laissé un message...
Mais tu ne m'as pas écouter! fit-il en lui prenant le bras violemment.
Tu me fais mal!... Et puis, c'est pas comme si je t'avais laissé bloquer dehors...
Tu n'as pas intérêt à refaire ça! Privée de sortir et de ton téléphone pour deux mois!
Mais t'as pas le droit de faire ça!
Donnes moi ton téléphone!
Alors là, tu peux toujours rêver...

Shameeka voulut partir, mais son père lui mit une claque. Elle le regarda, choquée.

Comment tu peux me faire ça?!!
Tu ne me reparles plus comme ça! Compris?! fit-il avec un regard menaçant en lui prenant le visage entre une main.
Tu crois vraiment que tu me fais peur! Je ne suis pas maman moi!

Ce fut les mots de trop. Son père commença à l'a frapper. Il l'a jeta contre le mur, sa tête heurta pleins de meubles, ses joues étaient rouge et ses bras pleins d'hématomes. Après qu'il s'était calmé, il partit. Elle était là, effondrée par terre. Elle était mal au point, mais elle ne pouvait rien faire. Si elle savait qu'il allait encore recommencer et même pire.
Alors elle cacha ça à tout le monde. Tout les jours étaient des combats, tout les jours, elle se faisait taper dessus. Elle prétextait à ses amis qu'elle se faisait mal en danse ou en sport en général. Il l'a frappait surtout au corps, pour que personne ne remarque. Shameeka savait très bien, qu'elle n'aurait aucunes chances de partir, et elle avait tellement peur. Mais pourtant, ce n'était pas finit.

Elle avait seize ans. Elle était couchée sur son lit, elle regarda une photo de sa mère. Si elle savait comment elle souffrait. A présent, elle comprenait le geste de sa mère, mais lui en voulait de l'avoir laisser avec un gars comme lui. Elle sortit de sa chambre, elle était en pyjama. Elle partit en bas pour téléphoné en cachette. Elle avait le combiné à l'oreille, elle avait réussit à prendre contact avec un avocat. Quand son père l'attrapa par le bras. Il était furieux parce que son entreprise coulait. Alors les conséquences se reportait sur sa fille.

Tu téléphone !?
...
Tu n'as pas le droit!

Oui, c'était vrai, mais si elle devait toujours l'écouter, elle n'aurait plus de vie. Et elle ne l'avait pas vu arriver. Il l'a poussa sur l'escalier, elle monta vite, elle courra à sa chambre pour s'enfermer, mais il réussissait à ouvrir. Il l'a plaqua contre le mur, et commençait à être beaucoup trop proche. Et là, il faisait balader ses mains sur elle. Shameeka haletait, comment pouvait-il faire ça à sa fille ?! Et là, ce qui se devait se passait, se passa. Son père l'avait violée. Elle était là, pleines de bleues, et abusée par son père. Ce soir là, elle avait voulut partir, ne plus vivre. Elle se sentait tellement mal, plus rien ne l'a retenait. Elle voulait retrouver sa mère et se faire réconforter. Elle était sali par son père. Son propre père. Pendant toute la nuit, elle ne dormait pas. Monsieur Hinclay put comprendre rapidement au matin, que sa fille était partit. Oui, Shameeka était partit de chez elle. Elle mourra surement de froid mais tant pis, même tant mieux. Son père ne pourra pas l'a retrouver. Elle habitait un moment chez une vielle femme, qui l'a laissait habiter chez elle, pour des services. Elle l'a connaissait depuis petite, à présent la vielle dame n'avait plus trop ces esprits.

After that...Life continued.

Alors qu'elle finissait le lycée, elle fut accepter pour l'université de New York. Pendant sa première année, elle rencontra Heaven Shaterly. Leurs rencontre tout à fait originale. Alors que Shameeka était anxieuse, elle sortit une cigarette. Elle ne trouvait pas son briquet. Alors elle vit la fille assise à côté d'elle, sur la table. Elles étaient dehors, des tables étaient placées pour pouvoir faire ces études dehors au soleil quand il y en avait.

T'as du feu?
- T'es au courant que c'est interdit de fumer ici?
- Et alors, c'est ton problème?
- Tu veux que je te dise toutes les saletés que contient cette clope?
- Oh, lâche moi!
- Ammoniac, goudrons, arsenic, ...
- La ferme! »

Elles entamaient toutes les deux leur première année d'étude à la fac, à New York. Pendant quelques jours, elles n'ont pas arrêté de se charrier. Il était évident qu'elles se ressemblaient énormément sur le plan psychologique. Même caractère franc, audacieux, provoquant et instable. Puis, elles ont réussi à entamer de vraies conversations et ont constaté qu'elles avaient pas mal de points communs. Shameeka se retrouvait en elle. Vraiment la première personne avec qui elle adorait passer des moments avec.
Shameeka en grandissant, elle s'était forgée un caractère plutôt froid, mais elle était souriante, et ne s'attachait pas vite. Elle était tellement fêtarde. Pour ne plus penser à son passé, elle buvait beaucoup pendant les soirées. Et puis, c'est une grande fumeuse, toujours très anxieuse. Surement, le fait que son père peut l'a retrouver quand il veut.
Revenons à Heaven, ensuite vinrent leurs virées ensembles en boîte, dans les bars ou à diverses soirées tardives plus ou moins arrosées. C'est ainsi qu'elles devinrent très liées et très complices. Soudées comme les doigts d'une main, elles se soutenaient mutuellement, ne se mentaient jamais. Chacune avait confiance en l'autre. Elles s'étaient trouvé une sorte de nouvelle «famille» à défaut d'en avoir une à leur goût. Shameeka avait trouver en Heaven la sœur qu'elle n'avait jamais eut. Une personne qui n'allait pas l'a jugeait. Alors qu'un soir, elles parlaient autour de bonbons et de chocolat fondus, Heaven posa la question qu'il ne fallait pas.


Raconte ta première fois!
...Heu...
T'as jamais couchée ?
Si! Comme même! Tu crois que je suis une débutante comme toi!
Shameeka en rigola.
C'est même pas vrai! Alors raconte, ça risque d'être marrant!
Enfaite, c'est un mauvais souvenir, vaut mieux pas en parler!

Shameeka rigola en faisant mine de faire comme si ça avait était la catastrophe. Le genre de catastrophe où le mec ne savait pas. Mai sen réalité, à l'intérieur d'elle tout ces mauvais souvenirs revenaient. En réalité, son père quand il avait abusé d'elle, c'était comme sa première fois. Elles changèrent de sujet au fil des minutes, tant mieux.
Heaven était au courant pour la mort de sa mère et de la façon dont elle est morte mais après une longue conversation elle avait réussit à faire cracher ça à Shameeka. Mais elle ne savait pas vraiment pour le temps passé avec son père. Shameeka a toujours peur de raconter. En même temps, ça lui fait tellement mal. Heaven et Shameeka étaient très proche, pleins de secret, Heaven était la seule à connaitre son passé, enfin des éléments importants. Shameeka était la plus fêtarde entre elle deux, et puis comme Heaven venait de débarquer à New York, elle lui a fait connaitre la grande ville. Shameeka avait toujours vécut ici, alors elle connaissait cette immense ville comme sa poche. Heaven était beaucoup plus calme qu'elle, alors Shameeka voulait lui faire découvrir pleins de choses. Nottament les joies des soirées arrosées, et puis les histoires d'un soir. Comme elles se connaissaient par coeur, Shameeka savait que Heaven avait eut sa première fois lors d'une de ces rencontres à New York. Celle-ci avait continuer les histoires d'un soir, comme Shameeka quoi. Sauf qu'un soir, elle vit THE Titus . Ce mec toutes les filles le connaissaient enfin, surtout celles qui habitaient depuis le temps à New York. Il tournait autour de sa meilleure amie. Heaven s'est attachée très vite, malgré qu'elle l'ait prévenu, Heaven s'est installée avec Titus dans un appartement. Et puis Shameeka avait été encore plus choquée en entendant que Heaven avait organiser un voyage avec son beau Titus à Las Vegas. Elle savait très bien qu'Heaven était follement amoureuse de lui. Et Shameeka ne croyait franchement pas l'a reconversion en homme fidèle de Mister Titus. C'est alors qu'elle vit débarquée Heaven à sa porte.

Tu avais raison...
Oh... Je suis tellement désolée, Heaven... Viens là!

Heaven l'a prit dans ses bras et l'a fit entrer dans son appartement. Elle était vraiment désolée pour elle. Au bout d'un moment, elle avait crut aussi que Titus avait changer mais non. Il avait briser le cœur de sa meilleure amie, il allait le payer. Alors Heaven resta un moment chez elle, le temps de finir l'université. Shameeka récupéra toutes les affaires de sa best chez Mister T, et lui régla son compte comme il fallait.

L'université finit, Shameeka avait fait des études de langues étrangères. Elle n'avait aucunes idées de ce qu'elle ferait plus tard. Et puis de toute façon, elle avait tellement d'argent qu'elle pourrait vivre sans travailler. Quand Heaven eut une réponse positive d'un journal à Philadelphie, Shameeka vit l'opportunité de pouvoir partir loin de son cauchemar, et pouvoir oublier au moins le plus possible son dur passé. Alors elle partit avec sa meilleure amie. Celle-ci fut heureuse, pour dire, leurs amitié est vraiment forte, et Heaven avait un peu peur de l'a quitter. Et puis pour dire la vérité, Shameeka était seule, il n'y avait que Heaven pour elle. Sa confidente et meilleure amie, sa sœur de cœur.

Arrivée à Philadelphie, Shameeka occupe ses journées à être serveuse parfois. Enfin histoire de s'occuper. Sinon, elle est passionée par la musique, précisement la guitare, elle adore ça, et sait en jouer comme une déesse. En tout cas, c'est Heaven qui lui dit ça. Elle a aussi un bon coup de crayon, peut-être percera t-elle dans le dessin ou la musique ?
Ici, elle veut se refaire une vie. Une vie qui effacerait son enfance. Pour l'instant, elle n'est jamais vraiment tombée amoureuse, elle a eu que des histoires d'une nuit ou des flirts mais pas sérieux. Elle espère qu'ici, elle pourrait changer. Biensur, elle est très méfiante, et un peu froide parfois, mais c'est une fille adorable derrière et puis peut-être que quelqu'un arrivera à panser ses blessures encore ouverte à l'intérieur d'elle.